Quand fondent les banquises ou les mémoires… écrire comme le canari chante dans la mine. Cahiers : Karin Crona, Éric Tabuchi.

Histoire météore, contes de fées, catastrophes, rencontres irrémédiables. Y a-t-il une littérature sans lendemain ? Cahiers : Clément Vuillier, Delphine Parodi & Yoko Tawada.

Aux marges du désir, du social, de l’Histoire… Anonymats, questions de genre, pornographie militante. Cahiers : Joëlle Dubois, The Anonymous Project.

La littérature et ses doubles, l’art et ses miroitements. Carroll, Borges, Liscano, Smithson… Matières à réflechir. Cahiers : Juliette Mancini, Seichi Furuya.

Hong Kong, Manouchian, poissons sans mémoire, gore, cerises, Guyotat... Le cœur bat en rouge. Cahiers : Anaïs Vaugelade, Stéphane Levallois, Paloma Pineda.

Lumière, voitures, cow-boys, athlètes, virtuoses : les mots peuvent-ils aller à la vitesse de la vie ? Cahier : Matthieu Riffard & Mathilde Roussel.

Le poil de l’ours, la grâce de l’éléphant, l’orgueil du coq, l’épectase du cafard... Les cris des bêtes, les mots des hommes. Cahiers : Ernst Haeckel, Charles Fréger.

Îles, villes schizophrènes ou factices, banlieues, aéroports, Disneyland® et dépotoirs... L’écriture comme espace à réinventer. Cahier : Yang Yongliang.

Mère, morts, fresques, films, souvenirs, selfies, biométrie. L’écrivain n’a pas de visage, il s’en cherche un à toute force. Cahier : Anne de Gelas.

Imposteurs, complices, traîtres, et écrivains. Paroles données, reprises, reniées, perdues. Les mots de ceux qui trahissent. Ce qui se trahit sous les mots.